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19 juin 2008 4 19 /06 /juin /2008 22:50
Le transfert diabolique.
 Chers frères et soeurs en Yéshoua HaMashia, shalom. Il est vrai, beaucoup de ceux qui aiment seulement entendre l'amour de Dieu ne seront pas d'accord avec moi sur l'enseignement des doctrines. Mais ayant le devoir de servir l'Eternel de tout mon coeur, je me dois de respecter les parole de Yéshouah qui disent: Enseignez leur à observer tout ce que je vous ai prescrit (Matthieu 28:19-20). Beaucoup me comprendront quand nous serons au milieu de cette étude. La petite corne a fait un transfert diabolique. Voici un extrait de la brochure de mon ami RODERICK

Nous savons, par le Nouveau Testament, que la véritable Eglise de Dieu serait petite et persécutée. Jésus instruisit Ses disciples en disant : « Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui les trouvent » (Matthieu 7 :13-14)

        Jésus a appelé Son Eglise le « petit troupeau » (Luc 12 :32). Et, dans Sa prophétie sur le mont des Oliviers, Il fit la mise en garde suivante : « Alors on vous livrera aux tourments, et l’on vous fera mourir ; et vous serez haïs de toutes les nations, à cause de mon nom » (Matthieu 24 :9). Regardons les choses en face : ce ne sont PAS les chrétiens « traditionnels » qui sont « haïs de toutes les nations ». Pourquoi ? Parce qu’ils se sont fort bien intégrés au monde, marchant de concert avec ses coutumes, ses traditions et souvent même ses PECHES.

 Y avait-il encore, après l’époque apostolique, une Eglise telle que décrite par Jésus, gardant fidèlement le véritable jour de sabbat ? Assurément oui ! En fait, bien que cela n’ait aucun impact, tous les historiens de l’Eglise reconnaissent que des milliers d’entre les premiers chrétiens continuèrent à respecter le sabbat du septième jour, pendant des générations successi Nous avons déjà lu la déclaration de Jesse Lyman Hurlbut : « Aussi longtemps que l’Eglise resta principalement juive, elle gardait le sabbat hébreu. » Mais y a-t-il eu quelque écrivain biblique inspiré, pour nous dire que le sabbat devait être CHANGE plus tard ?

 Bien sûr que non !

Car la tête vivante et active de la véritable Eglise de Dieu est Jésus-Christ : « Il est la tête du corps de l’Eglise ; il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin d’être en tout le premier » (Colossiens 1 :18 ; voir aussi Ephésiens 1 :22). L’Epître aux Hébreux nous dit : « Souvenez-vous de vos conducteurs qui vous ont annoncé la parole de Dieu ; considérez quelle a été la fin de leur vie, et imitez leur foi. Jésus-Christ est le MEME hier, aujourd’hui, et éternellement » (Hébreux 13 :7-8).

En effet, à travers toute la Bible, un seul jour est mis à part pour le sabbat : le septième jour. Et ce jour tombe le samedi ! Voici une citation de James Cardinal Gibbon, un archevêque de Baltimore, probablement le mieux connu des dirigeants catholiques américains de son époque. Examinez ce que ce catholique américain de très haut rang a écrit sur le sabbat de Dieu, dans un livre célèbre intitulé Faith of Our Fathers (La Foi de nos Pères) : « Vous pouvez lire la Bible de la Genèse à l’Apocalypse, sans trouver une seule ligne autorisant la sanctification du dimanche. Les Ecritures font valoir l’observance religieuse du samedi, un jour que nous n’avons jamais sanctifié » (1876)

 Notez aussi cet extrait de The Catholic Mirror, le journal officiel de l’archidiocèse de Gibbon, placé sous sa direction : « Dans l’Ancien Testament, référence est faite cent vingt six fois au sabbat et tous ces textes expriment sans contredit la volonté de Dieu ordonnant que le septième jour soit observé » (9 septembre 1883). Il déclare ensuite : « Il est inconcevable de mettre en doute la question de l’identification du samedi au sabbat, ou au septième jour, étant donné que le peuple d’Israël a toujours observé le samedi depuis que la Loi fut donnée. »
 
Voici encore une citation tirée d’un article écrit plus tard, sous la direction de Cardinal Gibbons : « La parole écrite de Dieu enjoint à Ses fidèles d’observer le samedi d’une manière indiscutable, répétée et des plus insistantes, accompagnée d’une menace de mort catégorique pour celui qui désobéirait » (23 septembre 1893). Pourrait-on être plus CLAIR ? Bien entendu, l’Eglise de Dieu qui observe les commandements a continué à garder le sabbat du septième jour – du vendredi au coucher du soleil au samedi au coucher du soleil !

 George Park Fisher, professeur d’histoire ecclésiastique respecté à l’université de Yale, est d’accord avec Hurlbut pour dire que les premiers chrétiens observaient le sabbat du septième jour de la semaine. Il a écrit : « Au début, les chrétiens juifs fréquentaient les synagogues. Ils continuaient à observer les fêtes requises par la loi ; ce n’est que progressivement qu’ils rallièrent les idées et les actes chrétiens. Ils observaient le sabbat le samedi, selon la loi de Dieu » (History of the Christian Church, 1887, page 40). Etant donné que le commandement de Dieu est exprimé si clairement dans Sa parole – et que l’Eglise qui croyait à la Bible l’observait – d’où le dimanche vint-il ? Le célèbre historien Will Durant écrit : « Le caractère important du sabbat juif fut transféré sur le dimanche chrétien, qui le supplanta au second siècle » (The Story of Civilization, volume 3, 1972, page 599).


Comment cela arriva t-il ? Une étude catholique nous révèle que « l’Eglise [catholique] transféra l’obligation d’observer le samedi au dimanche » (Father Smith Instructs Jackson). The Catholic Mirror partage cette opinion : « L’Eglise catholique […] en vertu de sa divine mission, changea le jour du samedi au dimanche » (23 septembre 1893). L’Université Grégorienne de l’Eglise catholique Pontificale de Rome PUBLIA un livre de Samuele Bacchiocchi, érudit non catholique, qui prouve incontestablement ce fait ! La préface, écrite par Vincenzo Monachino, président du département d’Histoire de l’Eglise de l’Université déclare :

 « Nous [L’Eglise catholique romaine] FAISONS VOLONTIERS REFERENCE à la thèse défendue par Bacchiocchi en ce qui concerne le lieu d’émergence du culte du dimanche : Pour lui, cela ne commença probablement pas dans l’Eglise primitive de Jérusalem, bien connue pour son attachement profond aux traditions religieuses juives, mais plutôt dans l’Eglise de Rome, L’abandon du sabbat et l’adoption du dimanche en tant que jour du Seigneur, sont le résultat d’une combinaison de facteurs religieux chrétiens, juifs et PAIENS » (From Sabbath to Sunday : A Historical Investigation of The Rise of Sunday Observance in Early Christianity, 1977, pages 7-8).Un jour en vaut-il un autre ?

 Certains citent Romains 14 :5-6, pour prouver que la question ne se pose pas au sujet du jour à observer comme sabbat, ou si un jour est requis pour cela. Dans ce passage, l’apôtre Paul déclare : « Tel fait une distinction entre les jours ; tel autre les estime tous égaux. Que chacun ait en son esprit une pleine conviction. Celui qui distingue entre les jours agit ainsi pour le Seigneur. » Mais parle-t-on effectivement ici de l’observance du sabbat ? Veuillez noter le reste du verset 6 : « Celui qui MANGE, c’est pour le Seigneur qu’il mange, car il rend grâces à Dieu ; celui qui ne mange pas, c’est pour le Seigneur qu’il ne mange pas, et il rend grâces à Dieu. » Qu’est-ce que cela signifie ? Romains 14 commence avec Paul disant aux chrétiens de Rome d’accueillir celui qui est « faible dans la foi », et de ne pas discuter d’opinions (verset 1), c’est-à-dire de choses dont certains n’étaient pas convaincus. Au verset 2, Paul mentionne le cas de certaines personnes qui ne mangeaient que des légumes pour diverses raisons religieuses, quoique la Bible mentionne, en de nombreux endroits, qu’il est acceptable de manger des aliments purs. Par exemple, dans la parabole de l’enfant prodigue, on trouve la description d’un père juste qui prépare un « veau gras » pour un repas de réjouissance (Luc 15 :23).

Dans d’autres lettres, Paul explique une raison particulière pour laquelle certains chrétiens étaient devenus végétariens. La majeure partie des aliments acceptables, que l’on trouvait sur le marché, avaient été offerts aux idoles. A cela, Paul dit : « Pour ce qui est donc de manger des viandes sacrifiées aux idoles, nous savons qu’il n’y a point d’idole dans le monde, et qu’il n’y a qu’un seul Dieu […] Mais cette connaissance n’est pas chez tous. Quelques-uns, d’après la manière dont ils envisagent encore l’idole, mangent de ces viandes comme étant sacrifiées aux idoles, et leur conscience, qui est faible, en est souillée » (1 Corinthiens 8 :4, 7).

 Plusieurs nouveaux convertis pensaient qu’en mangeant de tels aliments, ils participaient au culte idolâtre, mais ils ne fréquentaient pas les autres chrétiens et s’éloignaient d’eux. C’est la pire chose que l’on puisse faire. Paul déclara, dans Romains 14, que « celui qui a des doutes au sujet de ce qu’il mange est condamné, parce qu’il n’agit pas par conviction. Tout ce qui n’est pas le produit d’une conviction est péché » (verset 23). Ne sachant pas si quelque chose est intrinsèquement bon ou mauvais, ou si vous pensez que c’est peut-être mauvais mais que vous le fassiez tout de même, vous êtes en train de pécher. A l’attention de ceux qui n’ont rien contre le fait de manger de la viande, Paul dit : « Que celui qui mange ne méprise point celui qui ne mange pas » (verset 3). Mais dans ce même verset, il ajoute : « Et que celui qui ne mange pas ne juge point celui qui mange, car Dieu l’a accueilli. » Ensuite, il recommande à ceux qui mangent [de tout] de ne pas le faire devant ceux qui ne mangent pas [de tout] (versets 15-22)

Mais pourquoi Paul, dans sa dissertation sur le « manger ou pas », fait-il mention de l’équivalence des jours ? Parce que cela implique le même principe ! Il y avait quelques nouveaux convertis, encore fragiles, qui pensaient que certains jours étaient supérieurs à d’autres pour jeûner, manger ou s’abstenir de certains aliments. D’autres estimaient que tous les jours étaient égaux pour jeûner ou pour manger de tous les aliments purs. Le Christ a dit, au sujet du jeûne, que nous devons le faire devant Dieu, sans que les autres personnes ne le sachent (Matthieu 6 :16-18). Mais les Juifs et les Gentils pratiquaient – les uns comme les autres – des « demi-jeûnes » pendant des jours particuliers de la semaine ou du mois. Les pharisiens jeûnaient, selon leur coutume, « deux fois par semaine » (Luc 18 :12). Le peuple juif jeûnait pendant certains mois (Zacharie 7 :4-7). Cependant, les autorités religieuses juives étaient divisées sur le sujet. Les Gentils étaient également divisés sur le choix des dates et des aliments dont il fallait s’abstenir (pendant certains jours) – (Hasting’s Encyclopedia of Religion and Ethics).

La seule raison pour laquelle le sabbat fut impliqué, dans ces débats, était de savoir si l’on pouvait jeûner pendant ce jour. Cependant, ce n’était pas le sujet principal de ces discussions ; si Paul en avait controversé, il en aurait probablement fait mention – comme dans Colossiens 2 :16, où les Gentils convertis au christianisme critiquaient la manière d’observer le sabbat et les Fêtes. Quoi qu’il en soit, la controverse dans Romains 14 au sujet de la considération de jours particuliers n’avait RIEN à voir en pratique avec le sabbat de Dieu ou avec Ses autres Jours saints !

Ici, il n’est pas question d’observer ou non les jours que Dieu a sanctifiés. Il s’agit de traditions d’HOMMES – plusieurs étaient d’accord de suivre ces dernières, mais pas de s’en imposer d’autres. Aux yeux de Dieu, ce n’est pas la date à laquelle nous jeûnons qui a de l’importance (sauf pour le jour des Expiations, où Dieu nous ordonne de jeûner), ce qui est important à Ses yeux, c’est l’attitude avec laquelle nous jeûnons – et que nous ne jugions point les autres selon nos idées personnelles.

Le droit de changer le jour ?

Petit à petit et furtivement, Satan avait réussi à influencer des théologiens catholiques égarés, qui commencèrent à introduire l’antique « jour d’adoration du soleil » à la place du sabbat hebdomadaire. Après tout, des millions de païens avaient toujours observé ce jour, le dimanche, dans leur culte d’adoration du soleil et d’autres corps célestes. Ces théologiens séduits pensaient qu’un changement pour le dimanche faciliterait la « conversion » des païens au christianisme !

Mais quelle sorte de « christianisme » peut-il y avoir lorsqu’on se met à changer les Dix Commandements de Dieu, et que l’on se met ensuite à noyer le mode de vie enseigné par le Christ et par l’Eglise apostolique d’origine ? Cela pourrait-il encore demeurer le véritable christianisme ? Référons-nous aux propres paroles de Jésus : « Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais seulement celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux » (Matthieu 7 :21).

 Sous l’influence trompeuse de Satan, les Eglises protestantes ont suivi « leur mère Rome », en rejetant le véritable sabbat de Dieu. Quoiqu’ils répudièrent un certain nombre d’enseignements catholiques, la pratique païenne du dimanche, en tant que jour de culte, n’en faisait pas partie. Néanmoins, beaucoup d’érudits protestants du début de la Réforme étaient très bien informés. En fait, ils savaient ce que la Bible enseigne, effectivement ! Veuillez noter ce que Martin Luther, le père de la Réforme protestante duquel l’Eglise luthérienne tire son nom, a écrit : « En effet, si Carlstadt [l’un des seuls qui étaient contre l’observance du dimanche] avait été plus loin dans ses écrits sur le sabbat, le dimanche aurait cédé sa priorité, et le sabbat – c’est-à-dire le samedi – serait observé comme jour saint » (Against Celestial Prophets). Mais Luther ne voulait pas revenir au jour correct. Il écrivit dans son Grand Catéchisme que : « Pour éviter des perturbations inutiles que [le jour de culte] occasionnerait, on continuerait à observer le dimanche » (The New Schaff-Herzog Encyclopedia of Religious Knowledge, “Sunday”). C’est pourquoi, l’Eglise catholique reconnaît aisément avoir changé le jour ! Cela démontre que les protestants ne se basent pas uniquement sur la Bible pour établir leurs doctrines – comme ils le disent – mais qu’ils reconnaissent l’« autorité » de l’Eglise de Rome pour changer la loi de Dieu. Voici comment The Catholic Mirror l’explique : « A sa naissance, le monde protestant découvrit que le sabbat chrétien [dimanche] était trop fortement enraciné pour aller à contre sens ; par conséquent, il se trouva dans la situation d’accepter un arrangement, attribuant, ainsi à l’Eglise le droit de changer le jour […]. Ce jour-là, le sabbat chrétien [dimanche] est devenu l’enfant légitime de l’Eglise catholique […] sans un mot [de protestation] du monde protestant » (23 septembre 1893). Incroyable ? Certes ! Mais les catholiques n’ont aucunement le « droit » de changer le jour. Et pourtant, c’est ce qu’ils firent, et les Eglises protestantes leur emboîtèrent le pas. Pendant tout ce temps, la véritable Eglise de Dieu continuait à observer le vrai sabbat de Dieu – comme à l’époque apostolique. Avant de conclure, consultons encore un érudit connu, W. D. Davis : « Partout, particulièrement dans l’Empire romain d’Orient, il y avait des chrétiens juifs dont le mode de vie ne différait pas de celui des Juifs. Ils admettaient que l’Evangile était un prolongement [de la religion de Moïse] ; pour eux, la Nouvelle Alliance, que Jésus avait établie lors du dernier souper en compagnie des disciples […] n’impliquait pas que l’Alliance entre Dieu et Israël fût désormais sans vigueur. Ils observaient encore les Fêtes de Pâque, la Pentecôte et la Fête des Tabernacles ; ils continuaient aussi à pratiquer la circoncision, à observer le sabbat hebdomadaire et les règles mosaïques sur les aliments. Selon certains érudits, ils étaient si solides et si droits jusqu’à la chute de Jérusalem, en 70 apr. J.-C., qu’ils furent l’ELEMENT DOMINANT du mouvement chrétien » (Judéo-christianisme, “Paul and Jewish Christianity”, 1972, page 72, cité par Bacchiocchi, page 151). Si les observateurs du sabbat furent « l’élément dominant » du christianisme depuis plus de 40 ans après la mort du Christ et la descente du Saint-Esprit, cela ne nous dit-il rien ? N’est-il pas évident que si Jésus Lui-même, si Pierre, Jacques, Paul et la MAJORITE de l’Eglise chrétienne de ce temps observaient le sabbat du septième jour, CE jour-là est celui que nous devons TOUS observer ? C’est le jour que les premiers apôtres du Christ ont observé jusqu’à la fin de leur vie. Avec quelle AUDACE, les théologiens du Moyen Age placèrent-ils le nom du Christ sur un jour qu’Il n’avait jamais observé – JAMAIS sanctifié ? Avec quelle AUDACE remplacèrent-ils le saint sabbat de Dieu par le « jour du soleil » païen – dimanche ? Avec quelle AUDACE pervertirent-ils le véritable « signe » qui identifie le CREATEUR et ceux qui L’adorent ?

 Sous la puissante influence de Satan le diable, « celui qui a séduit toute la terre » (Apocalypse 12 :19), ils ont fait cela !

 En conséquence, pour réellement suivre ce que la BIBLE enseigne, vous DEVEZ observer le sabbat du septième jour – du vendredi au coucher du soleil jusqu’au samedi au coucher du soleil. Mais, si vous voulez transiger sur le commandement qui identifie le vrai Dieu, vous vous sentirez à l’aise en observant le « jour du soleil » comme la majorité vaniteuse – les innombrables millions de personnes dont les prophéties indiquent qu’elles seront bientôt les victimes de la plus grande TRIBULATION de l’histoire humaine, à cause de leur rébellion contre le vrai Dieu (voir Matthieu 24 :21-22).

 Que Hachem vous bénisse

                                    Shaliah, Jean-Pierre Nokam
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